Versailles, Cathédrale
Saint Louis
4 place Saint Louis, 78000 Versailles
Orgue de choeur OdT>
1837 - John Abbey
1880 - Aristid Cavaillé-Coll
1911 - Charles Mutin
1940/47 -Jules Bossier
1978 - Adrien Maciet
2001 - Gildas Ménoret
II/14 (15) - traction mécanique
Composition
I : Grand-Orgue (56 notes)
Bourdon 16'
Montre 8'
Flûte Harmonique 8'
Bourdon 8'
Prestant 4'
Doublette 2'
Plein-Jeu III rgs
II : Récit expressif (56 notes)
Flûte douce 8'
Salicional 8'
Voix Céleste 8'
Flûte octaviante 4'
Basson 16'
Trompette 8'
Basson-Hautbois 8’
Pédale (30 notes)
Soubasse 16’ (emprunt du GO)
14 jeux - 2 claviers manuels de 56 notes et pédalier 30 notes
Transmission mécanique des claviers et des jeux
•
Accouplements : II/I ( 8,16')
•
Tirasses : I/P - II/P
•
Appel + renvoi d'anches (du Récit) :
l'astucieux mécanisme permet toujours
par la rotation des tirants de pré-sélectionner
les jeux correspondants.
•
Appel Mixture GO
•
Appel trémolo général
•
Expression Récit par cuiller
Le jeu de Soubasse n'a toujours pas de tirant,
l'appel et le renvoi se font par une cuillère
Vidéos
Christian Ott
photos: Vincent Hildebrandt
L'orgue de choeur de la cathédrale fut construit en 1837
par le facteur John Abbey, établi à Versailles. En 1863,
l’instrument est restauré par Cavaillé-Coll qui modifie
quelque peu la disposition.
En 1880, l’instrument est reconstruit et agrandi par
Cavaillé-Coll dans un nouveau buffet et une console
neuve. Le matériel d’Abbey est réutilisé. L’instrument est
porté à quinze jeux.
En 1911, Charles Mutin effectue des modifications. En
1940 et 1947 : deux interventions du facteur Bossier
dans le style néo-classique, ajoutant des mutations au
GO (nazard et tierce) et plaçant le Plein Jeu au Récit sur
un sommier posté. En 1978, Adrien Maciet effectue un
réajustement total de la mécanique de départ, change le
banc devenu trop étroit et installe un nouveau pédalier
de 30 notes.
En 2001, une restauration par Gildas Ménoret de Nantes :
retour à l'orgue Abbey-Cavaillé-Coll (suppression des
mutations du GO, restitution du Plein-Jeu romantique au
GO).
Source
Versailles,
Cathédrale
Saint Louis
4 place Saint Louis, 78000 Versailles
Orgue de choeur OdT>
1837 - John Abbey
1880 - Aristid Cavaillé-Coll
1911 - Charles Mutin
1940/47 -Jules Bossier
1978 - Adrien Maciet
2001 - Gildas Ménoret
II/14 (15) - traction mécanique
Composition
I : Grand-Orgue (56 notes)
Bourdon 16'
Montre 8'
Flûte Harmonique 8'
Bourdon 8'
Prestant 4'
Doublette 2'
Plein-Jeu III rgs
II : Récit expressif (56 notes)
Flûte douce 8'
Salicional 8'
Voix Céleste 8'
Flûte octaviante 4'
Basson 16'
Trompette 8'
Basson-Hautbois 8’
Pédale (30 notes)
Soubasse 16’ (emprunt du GO)
14 jeux - 2 claviers manuels de 56 notes et pédalier 30 notes
Transmission mécanique des claviers et des jeux
•
Accouplements : II/I ( 8,16')
•
Tirasses : I/P - II/P
•
Appel + renvoi d'anches (du Récit) :
l'astucieux mécanisme permet toujours
par la rotation des tirants de pré-sélectionner
les jeux correspondants.
•
Appel Mixture GO
•
Appel trémolo général
•
Expression Récit par cuiller
Le jeu de Soubasse n'a toujours pas de tirant,
l'appel et le renvoi se font par une cuillère
Vidéos
Christian Ott
photos: Vincent Hildebrandt
ORGUES DE PARIS © 2024 Vincent Hildebrandt LES ORGUES
L'orgue de choeur de la cathédrale fut construit en 1837 par
le facteur John Abbey, établi à Versailles. En 1863,
l’instrument est restauré par Cavaillé-Coll qui modifie
quelque peu la disposition.
En 1880, l’instrument est reconstruit et agrandi par Cavaillé-
Coll dans un nouveau buffet et une console neuve. Le
matériel d’Abbey est réutilisé. L’instrument est porté à quinze
jeux.
En 1911, Charles Mutin effectue des modifications. En 1940
et 1947 : deux interventions du facteur Bossier dans le style
néo-classique, ajoutant des mutations au GO (nazard et
tierce) et plaçant le Plein Jeu au Récit sur un sommier posté.
En 1978, Adrien Maciet effectue un réajustement total de la
mécanique de départ, change le banc devenu trop étroit et
installe un nouveau pédalier de 30 notes.
En 2001, une restauration par Gildas Ménoret de Nantes :
retour à l'orgue Abbey-Cavaillé-Coll (suppression des
mutations du GO, restitution du Plein-Jeu romantique au
GO).
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